La dépense de santé s’est élevée à 2900 euros en moyenne par patient, dont 275 euros dus aux dépassements et à la liberté tarifaire (410€ pour les plus âgés).  

« Le reste à charge, révélateur des disparités de santé »

 Date de publication : 12 juin 2025 https://www.mediscoop.net/index.php?pageID=78ddd9001587f2b56f70db7d5ccbdc67&midn=22076&from=newsletter

 Temps de lecture: 3 min


« Sur une dépense moyenne de 1095 euros, les Français paient 147 euros de leur poche », indique Jean Cittone dans Le Figaro.


« En France, le reste à charge supporté par les patients – c’est-à-dire ce qui n’est remboursé ni par l’Assurance-maladie, ni par les complémentaires santé – est un des plus faibles des pays de l’OCDE », rappelle le journaliste. « Mais derrière cette spécificité hexagonale se cachent de fortes disparités dans le coût réel des soins », ajoute-t-il.


« Une étude du groupe mutualiste Malakoff Humanis publiée ce mercredi [11 juin], basée sur des données croisées de l’Assurance maladie et de cette complémentaire santé précise la répartition du remboursement entre la Sécurité sociale et les mutuelles », fait-il savoir.


« En 2023, la Drees, le service de statistique des ministères sociaux, constatait un reste à charge des ménages de 7,5% en moyenne, soit 274 euros par an », rappelle l’article. « Selon Malakoff Humanis, qui raisonne hors affections longue durée (ALD), ce reste à charge grimpe à 14% pour les dépenses de soins de ville dans leur ensemble, lesquels sont pris en charge à 53% par la Sécurité sociale et à 33% par les complémentaires », détaille Jean Cittone.


« Pour les dépenses à l’hôpital, le reste à charge n’est que de 2% – soit 45 euros – grâce à une prise en charge à 81% par la Sécu et à 17% par les mutuelles », ajoute-t-il.


« Les patients souffrant d’ALD sont pour la plupart éligibles à un remboursement à 100%. Pourtant, l’étude de Malakoff Humanis souligne un reste à charge non négligeable : sur un coût réel moyen de 6 948 euros annuels pour un patient en ALD, 5 893 euros sont pris en charge par l’Assurance-maladie et 740 euros par les complémentaires, générant un reste à charge de 315 euros », révèle Le Figaro. « Cette situation s’explique en partie par les franchises médicales, non remboursées », note le journal.


« Selon Malakoff Humanis, le reste à charge est le plus faible pour la pharmacie de ville, avec une dépense moyenne de 483 euros, dont 395 euros pris en charge par l’Assurance-maladie, 80 euros par les complémentaires et donc 8 euros seulement à débourser », reprend l’article. « Le remboursement par les complémentaires est plus important sur les soins à tarif libre (dentaire, optique), alors que la Sécurité sociale rembourse une plus forte proportion des soins essentiels », résume Le Figaro.


« Enfin, les dépenses de santé augmentent fortement avec l’âge. Pour les 0-19 ans, la dépense totale est inférieure à 1000 euros, avec seulement 69 euros de reste à charge en moyenne. Pour les 70-79 ans, elle avoisine en revanche les 5000 euros, avec un reste à charge de 379 euros pour les patients », rapporte Jean Cittone.
« Plus les dépenses augmentent, plus la part de l’Assurance-maladie est importante », résume le journaliste. « Des écarts qui interrogent sur la répartition des frais entre l’Assurance-maladie et les mutuelles », pointe-t-il.

Dépassements d’honoraires : une moyenne de 275 euros par an et par patient

Selon la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees), en 2021, la dépense de santé s’est élevée à 2900 euros en moyenne par patient, dont 275 euros dus aux dépassements et à la liberté tarifaire.  

12/06/2025 https://www.egora.fr/actus-pro/acces-aux-soins/depassements-dhonoraires-une-moyenne-de-275-euros-par-et-par-patient?utm_source=Newsletter&utm_medium=gms_egora&utm_campaign=En_bref___Samedi_14_juin_2025&utm_medium=gms_egora&utm_source=email&utm_campaign=En%20bref%20-%20Samedi%2014%20juin%202025%20(20h30)20250614&sc_src=email_4574609&sc_lid=174608199&sc_uid=XYBlorZBtz&sc_llid=6179&sc_eh=5d463c22601bc0401

Par Louise Claereboudt

2900 euros. C’est le montant moyen de la dépense de santé par patient en 2021, selon la Drees. 1160 euros ont été dépensés à l’hôpital*, et 490 euros en médicaments. Parmi ces 2900 euros, 2380 ont été remboursés par l’assurance maladie obligatoire (AMO), soit 80% de la dépense totale. Le reste se décompose de la façon suivante : 222 euros de ticket modérateur et/ou de forfait journalier hospitalier, 24 euros de participations forfaitaires et/ou franchises, et 275 euros dus aux dépassements d’honoraires et à la liberté tarifaire – qui sont « inégalement remboursés selon les niveaux de garantie des contrats ».

Lire aussi : Les dépassements d’honoraires des médecins suscitent « des préoccupations » : Bayrou missionne deux députés

La Drees, qui a mis à jour son outil de datavisualisation dédié au suivi de la dépenses de santé et du reste à charge, note que la dépense « varie considérablement » d’un patient à un autre. Les 10% de patients ayant les dépenses de santé les plus faibles engagent seulement 70 euros par an, contre 18 600 euros pour les 10% de patients avec les dépenses les plus élevées et 75 890 euros pour le top 1%.

En revanche, la Drees observe « une meilleure prise en charge par l’assurance maladie obligatoire pour les dépenses les plus élevées ». Si le taux de prise en charge par l’AMO est de 82% en moyenne, il atteint 91% pour les 10% de patients avec les dépenses les plus élevées, et 97% pour le top 1%. « Le reste à charge après AMO demeure néanmoins conséquent pour ces derniers », précise la Drees : 1620 euros pour le top 10% des dépenses et 2060 euros pour le top 1%.

Patients âgés ou en ALD : un reste à charge plus important

La dépense de santé varie aussi selon le profil du patient. Elle s’élève à 8530 euros, en 2021, pour les plus de 80 ans. Ce qui comprend 3790 euros liés à l’hôpital, 1230 euros d’achats de médicaments, 1180 euros de soins infirmiers, « mais seulement 370 euros de consultations chez des médecins spécialistes et 230 euros chez des médecins généralistes », indique la Drees. L’assurance maladie obligatoire rembourse en moyenne 88% de ces dépenses, contre 70% pour les 11-20 ans. Leur reste à charge atteint donc 1050 euros.

Les patients en ALD, eux, ont en moyenne dépensé 9300 euros pour leur santé en 2021, dont 4460 euros liés à l’hôpital et 1800 euros de médicaments. Malgré une prise en charge de 91% de leur dépense par l’assurance maladie obligatoire, leurs restes à charge sont plus importants en moyenne (790 euros) que les patients sans ALD (460 euros), souligne le service statistique du ministère de la Santé. Cela s’explique surtout par « des dépenses non liées à leur affection » et, « dans une moindre mesure », « par le fait que les franchises, les forfaits journaliers hospitaliers et les dépassements ne sont pas exonérés dans le cadre de leur affection ». 

6 patients sur 10 concernés par des dépassements

La Drees a également passé au crible les dépassements d’honoraires. Elle note que, « tous postes de soins confondus, les personnes ayant eu recours à au moins un soin en 2021 ont dû payer 275 euros de dépassement ou liberté tarifaire sur l’année en moyenne ». Si 4 patients sur 10 ne sont « pas concernés du tout » par le paiement de dépassements, « les 10% ayant les dépassements les plus élevés font face en moyenne à 1640 euros sur l’année, et les 1% à 4060 euros ». A noter que « 80% des dépassements d’honoraires sont concentrés sur 19% des patients ». 

*La Drees précise que si l’hôpital est « le poste qui contribue le plus à la dépense totale de santé », 17% des patients y ont eu recours, quand 81% des patients se sont rendus chez un médecin généraliste en 2021.  

Auteur de l’article

Louise Claereboudt

Mise à jour de l’application sur les Dépenses de santé et restes à charges

Jeux de données

Paru le 11/06/2025 https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/communique-de-presse-datavisualisation/jeux-de-donnees/240611_DATA_maj-de-lapplication-depenses-de-sante-restes-a-charges

La Direction de la recherche, des études, de l’évaluations et des statistiques (DREES) met à jour un outil de datavisualisation des dépenses de santé et de restes à charge. Quelles sont les dépenses de santé d’un patient sur une année ? Quelle part est prise en charge par la Sécurité sociale ? Quelle part est due aux dépassements ? Quels sont les soins les plus fréquents ? Comment varient ces dépenses et ces recours selon le profil du patient et le type de soin ? Voici quelques exemples de questions auxquelles cet outil répond. L’utilisateur peut y sélectionner les caractéristiques de son choix (âge, sexe, bénéficiaire du dispositif d’affection de longue durée [ALD]) pour afficher des graphiques dynamiques. L’ensemble des données sont téléchargeables en open data.


La dépense de santé représente en moyenne 2 900 euros en 2021 par patient dont 1 160 euros dépensés à l’hôpital et 490 euros en médicaments

L’outil présente des statistiques détaillées sur les dépenses de santé individualisables, remboursables et présentées au remboursement de l’assurance maladie obligatoire (AMO), la branche maladie de la Sécurité sociale. La dépense de santé représente ainsi en moyenne 2 900 euros par patient en 2021 dont 1 160 euros dépensés à l’hôpital et 490 euros en médicaments. Cette dépense se compose de :

  • 2 380 euros remboursés par l’AMO, soit 82 % de la dépense totale ;
  • 222 euros de ticket modérateur et/ou de forfait journalier hospitalier, pris en charge par les contrats responsables de complémentaire santé pour les patients couverts ;
  • 24 euros de participations forfaitaires et/ou franchises, exclus de la prise en charge des contrats responsables et restant donc à la charge du patient sauf en cas d’exonérations spécifiques (notamment pour les bénéficiaires de la complémentaire santé solidaire [C2S]) ;
  • 275 euros dus aux dépassements et à la liberté tarifaire, partiellement pris en charge par certains contrats complémentaires, et restant à la charge des patients sinon.

Une meilleure prise en charge par l’assurance maladie obligatoire pour les dépenses les plus élevées 

La dépense varie considérablement d’un individu à l’autre. Les 10 % de patients avec les dépenses les plus faibles engagent en moyenne 70 euros par an contre 18 600 pour les 10 % des patients avec les dépenses les plus élevées et 75 890 pour le top 1 %. Pour les dépenses les plus importantes, le taux de prise en charge par l’AMO est plus élevé : s’il est de 82 % en moyenne, il atteint 91 % pour les 10 % de patients avec les dépenses les plus élevées, et 97 % pour le top 1 %. Le reste à charge après AMO demeure néanmoins conséquent pour ces derniers : 1 620 euros pour le top 10 % de dépenses et 2 060 euros pour le top 1 %.

Les dépenses dépassent 8 000 euros en moyenne pour les plus âgés et les patients en affection de longue durée (ALD)

Les dépenses de santé augmentent avec l’âge et sont particulièrement élevées pour les plus de 80 ans et les patients en ALD. Les plus de 80 ans ont des dépenses de 8 530 euros en moyenne, dont 3 790 euros liés à l’hôpital, 1 230 euros d’achats de médicaments, 1 180 euros de soins infirmiers, mais seulement 370 euros de consultations chez des médecins spécialistes et 230 euros chez des médecins généralistes. Les patients aux âges plus avancés ont un recours plus fréquent aux consultations chez les médecins et des dépenses plus élevées qu’aux autres âges, mais qui restent largement minoritaires dans l’ensemble de leurs dépenses. L’AMO rembourse 88 % en moyenne de leurs dépenses (contre 70 % pour les 11-20 ans), laissant ainsi un reste à charge moyen après remboursement de l’AMO de 1 050 euros. Cette dépense est constituée pour moitié environ de tickets modérateurs et/ou de forfait journalier hospitalier, quasi entièrement pris en charge par les contrats responsables de complémentaire santé, de 60 euros de forfaits et franchises non remboursés et de 410 euros de liberté tarifaire et dépassements, inégalement remboursés selon les niveaux de garantie des contrats.


Les patients en ALD ont des dépenses de 9 300 euros en moyenne, dont 4 460 euros liés à l’hôpital et 1 800 euros de médicaments. Malgré une prise en charge de 91 % de leur dépense par l’AMO (notamment grâce au remboursement à 100 % du tarif de la Sécurité sociale sur les soins liés à leur affection), les patients en ALD ont des restes à charge après AMO plus importants en moyenne (790 euros) que les patients sans ALD (460 euros). Cela s’explique surtout par des dépenses non liées à leur affection (Adjerad, Courtejoie, 2021) mais aussi, dans une moindre mesure, par le fait que les franchises, les forfaits journaliers hospitaliers et les dépassements ne sont pas exonérés dans le cadre de leur affection.

10 % des patients font face à des dépassements de 1 640 euros en moyenne en 2021

Tous postes de soins confondus, les personnes ayant eu recours à au moins un soin en 2021 ont dû payer 275 euros de dépassement ou liberté tarifaire sur l’année en moyenne. Si 4 patients sur 10 ne sont pas concernés du tout par le paiement de dépassements, les 10 % ayant les dépassements les plus élevés font face en moyenne à 1 640 euros sur l’année, et les 1 % à 4 060 euros. 80% des dépassements d’honoraires sont concentrés sur 19 % des patients.


Suite au Covid, près de trois quarts des patients ont eu recours aux laboratoires en 2021 

L’outil informe aussi sur le recours aux différents postes de soins. Ainsi, si l’hôpital est le poste qui contribue le plus à la dépense totale de santé, 17 % des patients y ont eu recours, alors que 81 % des patients se sont rendus chez un médecin généraliste. L’année 2021 est encore marquée par l’épidémie de Covid-19. Ainsi, 73 % des patients se sont rendus en laboratoire pour des analyses, et 54 % ont bénéficié de soins infirmiers.

Précisions méthodologiques

L’outil de datavisualisation mis à jour ici se fonde sur l’exploitation de la base Restes à charge (base  RAC) 2021, constituée par la DREES à partir du système national des données de santé (SNDS). La base RAC regroupe sur une année, par poste de soins, les dépenses de santé des assurés de tous les régimes d’assurance maladie. Les dépenses non présentées au remboursement, telles que des consultations chez un médecin non conventionné ou des médicaments non pris en charge par la Sécurité sociale, ne sont pas incluses dans les données. Les dépenses n’incluent pas le financement de l’AMO par les ménages, ni leurs cotisations de complémentaire santé. 
Cet outil mis à jour renouvelle l’ancien outil qui présentait ces données à partir de la base RAC 2017 et dont les résultats sont toujours consultables sur l’application mais non comparables à ceux de 2021 du fait d’améliorations méthodologiques. 

Dépenses de santé : des soins moins nombreux mais plus coûteux

Publié le 27 novembre 2024

 Temps de lecture 3 minutes

Par : La Rédaction

La dépense courante de santé au sens international (DCSi) augmente de 3,5% en France en 2023, s’élevant à 325 milliards d’euros. Les consommations de soins hospitaliers (+5,7%), de soins ambulatoires (+5,7%) et de médicaments (+3,1%) sont en hausse. En revanche, les dépenses de prévention en lien notamment avec le Covid-19 diminuent de 38%. 

La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) a publié, le 21 novembre 2024, les comptes de la santé consacrés aux dépenses de santé en 2023. L’étude compare aussi les dépenses de santé de la France avec celles de ses voisins européens.

Augmentation de la consommation de soins et de biens médicaux

La consommation de soins et de biens médicaux (CSBM) – principale composante de la dépense courante de santé au sens international (DCSi) – regroupe les dépenses de santé hors prévention, soins de longue durée et dépenses de gouvernance. La CSBM qui augmente de 5,2% par rapport à 2022 s’élève à 249 milliards d’euros en 2023.

Les soins hospitaliers constituent le plus gros poste de dépenses avec 122 milliards d’euros, suivis par les soins ambulatoires (dont font partie les frais de médecine générale), les frais de médicaments et les coûts des dispositifs médicaux. Les soins hospitaliers et les soins ambulatoires connaissent une hausse de 5,7%.

Toutefois, « la dynamique des soins hospitaliers n’est pas la même dans les secteurs public et privé. À l’hôpital public, les prix des soins augmentent de 3,6%, tandis qu’en cliniques privées, ils n’augmentent que de 0,4%« . Selon le document de la Drees, la hausse dans le secteur public est à mettre en lien avec :

  • la revalorisation du point d’indice en juillet 2023 pour la fonction publique hospitalière ;
  • l’augmentation des indemnités de garde et de l’indemnité forfaitaire de sujétion.

En revanche, les dépenses de prévention baissent fortement (-38%) en raison du reflux de l’épidémie de Covid-19. Les dépenses dédiées à la lutte contre le Covid-19 étaient en effet principalement comptabilisées en dépenses de prévention (tests de dépistage, vaccination…).

Globalement, la CSBM est de 3 659 euros par habitant. Le reste à charge par habitant est de 274 euros. La Sécurité sociale absorbe la majeure partie de cette dépense, soit 2 910 euros et les organismes complémentaires prennent en charge 454 euros. Enfin, 21 euros sont financés par l’État.

Dépenses de santé : une hausse des cotisations des complémentaires santé

En bref

2 octobre 2024 https://www.vie-publique.fr/en-bref/296268-depenses-de-sante-en-hausse-en-2023#:~:text=Globalement%2C%20la%20CSBM%20est%20de,sont%20financ%C3%A9s%20par%20l’%C3%89tat.

Des évolutions similaires en Europe

La DCSi augmente dans la quasi-totalité des pays de l’Union européenne en 2022, avec une hausse moyenne de 3,5% (2,2% en France). Les dépenses de santé sont relativement similaires dans l’Union européenne. La France se situe au 2e rang derrière l’Allemagne avec des dépenses à hauteur de 11,8% du PIB (12,6% du PIB pour l’Allemagne), la moyenne de l’UE se situant à 10,4% du PIB. Dans la majorité des pays concernés, les dépenses préventives de santé ralentissent avec la fin progressive de la crise sanitaire liée au Covid-19.

Comme le précise la Drees, « en moyenne, dans l’Union européenne, 14,2% de la DCSi restent à la charge directe des ménages. Le Luxembourg (8,7%), la Croatie (9,1%) et la France (9,2%) sont les pays à plus faible taux de reste à charge de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) en 2022« .

Publié par jscheffer81

Cardiologue ancien chef de service au CH d'Albi et ancien administrateur Ancien membre de Conseil de Faculté Toulouse-Purpan et du bureau de la fédération des internes de région sanitaire Cofondateur de syndicats de praticiens hospitaliers et d'associations sur l'hôpital public et l'accès au soins - Comité de Défense de l'Hopital et de la Santé d'Albi Auteur du pacte écologique pour l'Albigeois en 2007 Candidat aux municipales sur les listes des verts et d'EELV avant 2020 Membre du Collectif Citoyen Albi

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