Avec la future norme danoise sur les PFAS, encore plus stricte, (2 ng/l pour la somme de 4 molécules spécifiques), 15 prélèvements (sur 30) dépasseraient les seuils admissibles, notamment à Bordeaux et Lyon.

Présentation des résultats de recherche de PFAS dans l’eau du robinet en France (Enquête)

23/01/2025

https://toute-la.veille-acteurs-sante.fr/228766/presentation-des-resultats-de-recherche-de-pfas-dans-leau-du-robinet-en-france-enquete/

Émis par : UFC Que Choisir, Générations Futures

L’UFC-Que Choisir et Générations Futures dévoilent aujourd’hui une étude préoccupante * sur la présence massive des PFAS, surnommés « polluants éternels », dans l’eau du robinet. Ces substances quasi indestructibles et toxiques pour certaines d’entre elles ont été détectées dans 29 des 30 prélèvements analysés par les associations, y compris dans de grandes villes comme Paris, Lyon et Bordeaux.

*https://www.quechoisir.org/enquete-eau-potable-une-contamination-massive-aux-pfas-n148568/

Des substances omniprésentes et mal réglementées

Générations Futures et l’UFC-Que Choisir ont analysé 33 PFAS dans l’eau potable de 30 communes françaises. Les résultats sont alarmants :

  • Le TFA, un résidu notamment de certains pesticides, a été détecté dans 24 prélèvements sur 30, notamment à Paris ou dans des communes des agglomérations de Poitiers et Orléans.
  • Certaines zones, comme Tours ou les environs de Rouen, présentent un véritable cocktail chimique, avec respectivement 10 et 11 PFAS différents relevés dans un seul prélèvement.

Malgré ces découvertes alarmantes, ces concentrations en PFAS (hors TFA) restent conformes à la norme choisie par la France (somme de 20 PFAS spécifiques limitée à 100 ng/l), bien moins strictes que celles d’autres pays. À titre de comparaison ;

  • Avec la norme américaine (4 ng/l pour 2 PFAS), 6 prélèvements (sur 30) dont ceux de Rouen et Amiens seraient considérés comme non conformes.
  • Avec la future norme danoise sur les PFAS, encore plus stricte, (2 ng/l pour la somme de 4 molécules spécifiques), 15 prélèvements (sur 30) dépasseraient les seuils admissibles, notamment à Bordeaux et Lyon.

Par ailleurs, les concentrations de TFA détectées, excéderaient la limite applicable aux pesticides[1] dans 20 prélèvements sur 30. Une situation d’autant plus préoccupante que cette substance n’est pas recherchée dans les contrôles réglementaires en France.

Si l’on appliquait simultanément les normes danoises sur les PFAS et les seuils français pour les pesticides, plus de 80 % des prélèvements (25 sur 30) ne respecteraient pas au moins l’une de ces exigences. Ces comparaisons montrent clairement à quel point la France adopte une approche peu exigeante pour la protection des consommateurs.

PFAS : la France à la traîne

En l’état, la norme française sur les PFAS prévue au plan de contrôle pour 2026[2], (100 ng/l pour la somme de 20 PFAS) est bien trop peu protectrice d’autant qu’elle ne repose sur aucune donnée toxicologique solide. Nous ignorons encore l’ampleur réelle des dangers posés par l’ensemble de ces substances sur la santé. Cependant, des études lient déjà certaines à des risques accrus de cancers, de maladies thyroïdiennes ou de troubles hormonaux.

Face à ces incertitudes, il est urgent que la France applique le principe de précaution :

  • En évaluant précisément le danger induit par le TFA et en l’intégrant au plan de contrôle de l’eau du robinet ;
  • En adoptant des normes plus strictes et protectrices basées sur des données scientifiques récentes ;
  • En renforçant les contrôles sur les rejets industriels et en interdisant les pesticides classés comme PFAS.

PFAS : il est temps d’agir !

L’UFC-Que Choisir et Générations Futures demandent aux parlementaires d’agir rapidement en votant sans délai la proposition de loi, adoptée en première lecture au parlement, visant à interdire ces substances dans les produits du quotidien, à réduire drastiquement les rejets industriels et à imposer aux entreprises de financer la dépollution.

Télécharger le pdf de la présentation faite lors de la conférence de presse du 23 janvier 2025.

[1] Une norme de 100 ng/l s’applique aux pesticides ainsi qu’à leurs produits de dégradation évalués comme pertinents. Les autorités sanitaires n’ont pas encore évalué le TFA malgré plusieurs demandes de Générations Futures. Son évaluation conduirait vraisemblablement à classer le TFA comme métabolite pertinent au vu de la méthodologie définie par l’Agence Sanitaire Française

[2] À partir de 2026, la France appliquera la directive européenne 2020/2184 relative à la qualité des eaux destinées à la consommation humaine (dites “de boisson”)

PFAS : l’eau potable en France est massivement contaminée par les « polluants éternels », notamment à Paris

Deux campagnes distinctes menées par le laboratoire Eurofins et les associations UFC-Que choisir et Générations futures révèlent des concentrations élevées en acide trifluoroacétique (TFA). 

Par Raphaëlle AubertStéphane FoucartStéphane Horel et Stéphane MandardPublié aujourd’hui à 05h11, modifié à 10h20

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A Paris, en 2020.
A Paris, en 2020.  FRANCK FIFE / AFP

En France, la contamination de l’eau potable par les « polluants éternels » (PFAS, pour substances per- et polyfluoroalkylées) atteint des niveaux insoupçonnés. Deux campagnes de mesures, rendues publiques jeudi 23 janvier, et conduites séparément par l’association de consommateurs UFC-Que choisir et l’ONG environnementale Générations futures d’une part, et par le laboratoire d’analyse Eurofins d’autre part, suggèrent que la quasi-totalité des Français sont exposés à ces substances toxiques par le biais de l’eau de boisson, et dans la grande majorité des cas à des taux excédant le seuil théorique de qualité.

Au total, une centaine d’échantillons d’eau du robinet ont été prélevés dans les principales agglomérations de métropole et des zones rurales proches, ou non, de sites industriels.

Dans les deux enquêtes, l’acide trifluoroacétique (TFA) présente les concentrations les plus élevées en plus d’être ubiquitaire, une caractéristique due à la chaîne ultracourte de carbone-fluor qui le constitue et fait de lui le plus petit des PFAS. Le TFA présente des indices de toxicité pour le foie ; l’Allemagne a proposé son classement comme toxique pour la reproduction et une demande est à l’étude à l’Agence européenne des produits chimiques.

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Fortes concentrations à Paris

L’UFC-Que choisir et Générations futures ont effectué des prélèvements dans trente communes entre juin et novembre 2024. Confiées au laboratoire indépendant Ianesco, les analyses révèlent des niveaux parfois très élevés. Le record est détenu par Moussac (Gard), avec 13 000 nanogrammes par litre (ng/L) de TFA dans l’eau distribuée. Rien de très surprenant, la commune étant proche de Salindres, où une usine du groupe Solvay a produit du TFA jusqu’en septembre 2024.

Plus étonnant, en revanche, les fortes concentrations mises en évidence à Paris : 6 200 ng/L mesurés dans un échantillon prélevé en novembre 2024 dans le 10e arrondissement, soit une concentration 62 fois supérieure au seuil de qualité en vigueur pour les métabolites de pesticides pertinents (100 ng/L), auquel le TFA devrait être soumis. Le TFA est issu de la dégradation de multiples polluants éternels utilisés par de nombreux secteurs industriels, mais il est aussi un métabolite de plusieurs pesticides comme le flufénacet ou le fluopyram, annuellement épandus par dizaines de tonnes dans les zones agricoles.

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Or, pour les métabolites de pesticides potentiellement toxiques (dits « pertinents »), la limite de qualité dans l’eau potable est fixée par la réglementation à une concentration de 100 ng/L. Mais dans le cas du TFA, alors même que la Commission européenne le considère comme « un métabolite pertinent » en raison de sa « toxicité préoccupante » pour le développement, en France, la direction générale de la santé a discrètement choisi de déroger à cette norme. 

Dans une note publiée le 23 décembre 2024, la direction générale de la santé annonce s’aligner sur les valeurs provisoires de l’Allemagne, soit une valeur sanitaire de 60 000 ng/L (au-dessous de laquelle le risque est présumé nul), et « une trajectoire de réduction vers une concentration inférieure à 10 microgrammes par litre [soit 10 000 ng/L] ». C’est cent fois plus que le seuil de 100 ng/L, qui s’applique en théorie à tous les métabolites de pesticides problématiques, et qui doit s’appliquer à partir de 2026 aux vingt PFAS jugés « prioritaires » dans l’Union européenne, dont le TFA ne fait pour l’instant pas partie. Pour l’heure, les pays européens avancent en ordre dispersé. Par exemple, les Pays-Bas ont établi une valeur-guide sanitaire de 2 200 ng/L pour le TFA dans l’eau potable.

« L’interdiction pure et simple »

Au total, le TFA a été détecté dans 24 des 30 prélèvements réalisés par l’UFC-Que choisir et Générations futures, et au-dessus de 100 ng/L dans 66 % des échantillons. Hormis Paris, d’autres agglomérations sont concernées mais à des niveaux moindres : Fleury-les-Aubrais (Loiret), près d’Orléans (1 600 ng/L), Lille (290 ng/L), Rouen (250 ng/L), Metz (230 ng/L), Mulhouse (140 ng/L)…

« Nous suivons de très près le sujet des PFAS, qu’on retrouve partout en France dans l’eau, les aliments, les produits de consommation. La présence de traces de TFA dans les eaux distribuées à Paris est identifiée, même s’il n’est pas réglementé et que nous ne connaissons pas sa toxicité, réagit Dan Lert, président de la régie Eau de Paris. Il faut sans délai réaffirmer la priorité à donner à la prévention à la source de ces pollutions. Elles contaminent non seulement la ressource en eau, mais de façon plus générale et dans des proportions sans doute très supérieures, l’alimentation et l’environnement. L’urgence pour réduire l’exposition globale aux polluants, c’est l’interdiction pure et simple de ces PFAS. »

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Les résultats d’Eurofins sont encore plus alarmants. Dans 61 des 63 échantillons prélevés par le laboratoire dans autant de communes en novembre 2024, le TFA est mesuré à des concentrations supérieures au seuil de 100 ng/L. Jusqu’à 35 fois plus, à Marange-Silvange, près de Metz, en Moselle. L’ordre de grandeur de la contamination est comparable à celui de Nantes (2 700 ng/L), La Rochelle (2 500 ng/L) ou Palaiseau (2 500 ng/L) en Essonne. Dans le milieu du classement, Rennes (1 100 ng/L), Lyon (920 ng/L), Nancy (830 ng/L) ou Marseille (760 ng/L) se situent sous la valeur sanitaire néerlandaise, mais encore largement au-dessus du seuil des 100 ng/L.

Les niveaux de TFA les plus élevés mesurés dans le Gard, vers Metz, Nantes, La Rochelle, en région parisienne…

Cette carte montre les résultats d’analyses effectuées dans l’eau du robinet par le laboratoire Eurofins (63 échantillons au mois de novembre 2024) et par l’UFC-Que Choisir et Générations futures (30 échantillons entre juin et novembre 2024), en France hexagonale.

« D’autres études réalisées en Europe ont montré des concentrations élevées en TFA dans les eaux de consommation, il était donc cohérent de mener une étude comparable en France, dit Coralie Sassolat, directrice générale des laboratoires Eurofins Hydrologie France. Cependant, nous avons été surpris par les niveaux de concentration mesurésNous voulions savoir si les PFAS à chaînes courtes et ultracourtes sont présents dans les eaux de consommation, parce qu’il n’y avait pas, à notre connaissance, d’étude sur le sujet en France, alors que nous en possédons déjà la capacité d’analyse. »

Augmentation de TFA dans le sang

Déjà problématique, la situation s’aggrave à un rythme soutenu. « La concentration de TFA augmente rapidement dans l’eau, le sol, les plantes, les jus de fruits, le vin, et donc dans le sang également, explique Hans Peter Arp, chimiste environnemental à l’université norvégienne de sciences et technologies. Cette augmentation est plus rapide depuis 2010, en raison de l’utilisation croissante de certains gaz réfrigérants, pesticides et produits pharmaceutiques dont le TFA est un sous-produit. »

Ce spécialiste des polluants éternels estime que, sur la base des tendances actuelles, « il ne serait pas surprenant que dans les cinq prochaines années, la concentration moyenne dans l’eau potable en France dépasse le seuil de 2 200 ng/L fixé par les Pays-Bas ». « Le TFA étant très persistant et difficile à éliminer de l’environnement, seules des restrictions de ces substances peuvent empêcher cette augmentation », ajoute le chercheur.

C’est également l’avis de l’UFC-Que choisir et de Générations futures. Les associations demandent au gouvernement d’appliquer le « principe de précaution » en adoptant « des normes plus strictes et protectrices », en renforçant les contrôles sur les rejets des industriels et en interdisant tous les pesticides classés comme PFAS (37 molécules autorisées en Europe). Les ONG exhortent par ailleurs les parlementaires à voter définitivement la proposition de loi, adoptée en première lecture, visant à protéger la population des risques liés à aux PFAS en restreignant leur usage. Elle sera à l’ordre du jour de la niche parlementaire du groupe Ecologiste et social le 20 février.

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Raphaëlle Aubert,  Stéphane Foucart,  Stéphane Horel et  Stéphane Mandard

L’eau du robinet polluée par des PFAS : quel impact pour la santé ?

Quentin Haroche | 23 Janvier 2025

PARIS – Deux études confirment que l’eau du robinet consommée en France contient des polluants éternels. Le danger pour la santé des Français est cependant difficile à évaluer.

Appelés polluants éternels en raison de leur persistance dans l’environnement, les substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées (en anglais PFAS) sont de plus en plus dans le collimateur des autorités et des associations écologistes en raison de leurs possibles effets néfastes pour la santé. Aux Etats-Unis, les critiques se sont notamment concentrés sur l’acide perfluorooctanoique (PFOA), utilisé dans la confection du Teflon et qui serait à l’origine de nombreux cas de cancer et d’infertilité.

De notre côté de l’Atlantique également, l’inquiétude sur ces produits polluants est croissante. Deux études sur la présence de PFAS dans l’eau du robinet en France ont ainsi été publiées ce jeudi, l’une menée par l’association UFC-Que-Choisir et l’ONG Générations Futures (avec l’aide du laboratoire Ianesco), l’autre par le laboratoire Eurofins. Une trentaine de prélèvements a été réalisée dans la première étude, tandis que 63 échantillons ont été analysés dans la seconde.

Au final, des PFAS ont été retrouvés dans la quasi-totalité des échantillons d’eau du robinet analysés (29 sur 30 dans la première étude). Certaines zones « présentent un véritable cocktail chimique, avec respectivement 10 et 11 PFAS différents relevés dans un seul prélèvement » indique l’association Générations Future. 

Les seuils sanitaires sont respectés…mais ces seuils sont-ils pertinents ?

Pour la quasi-totalité de ces polluants, « ces concentrations en PFAS restent conformes à la norme choisie par la France » indique l’ONG écologiste, à savoir un seuil de 100 nanogrammes par litre (ng/L) qui s’applique aux métabolites de pesticides dits pertinents. L’association note cependant que ce seuil est bien plus élevé et permissif que ceux utilisés dans d’autres pays comme le Danemark ou les Etats-Unis.

« Si l’on appliquait les normes danoises sur les PFAS, plus de 80 % des prélèvements (25 sur 30) ne respecteraient pas ces exigences » indique l’association. Les militants écologistes reconnaissent cependant « nous ignorons encore l’ampleur réelle des dangers posés par l’ensemble de ces substances sur la santé » et que les possibles risques accrus de cancer, de maladies thyroïdiennes et de troubles hormonaux ne sont que suspectés.

Les deux études se sont notamment intéressées à un PFAS particulier, l’acide trifluoroacétique (TFA). Ce réside de la production de certains produits chimiques, notamment des pesticides, a la particularité d’être quasiment impossible à éliminer de l’eau, même en utilisant les filtres les plus efficaces. Pourtant, sa présence dans l’eau du robinet n’est quasiment jamais recherchée.

Les deux études ont relevé des concentrations importantes de TFA dans l’eau du robinet de plusieurs communes. Le record est détenu par la ville de Moussac, dans le Gard, où l’eau du robinet contient 13 000 ng/L de TFA, peu étonnant quand on sait que la ville borde une usine du groupe Solvay qui produisait du TFA jusqu’en septembre dernier. 

Vers l’interdiction (quasi) généralisée des PFAS

Ces taux de présence de TFA restent très inférieurs au seuil réglementaire de 60 000 ng/L fixé par le ministère de la Santé le 23 décembre dernier et qui s’aligne sur les normes appliquées en Allemagne. Mais là encore, les associations estiment ce seuil bien trop élevé.

Aux Pays-Bas, les autorités ont fixé le seuil réglementaire de TFA à 2 200 ng/L : selon cette norme, des villes comme Paris (6 200 ng/L), Nantes (2 700 ng/L) ou La Rochelle (2 500 ng/L) présentent une eau trop polluée. L’association Générations Futures va encore plus loin en estimant que le taux de TFA ne devrait pas dépasser les 100 ng/L : 61 des 63 échantillons analysés par Eurofins dépassent ce seuil.

Là encore, il est très difficile de déterminer quel est le seuil adéquat. Certaines études ont pu indiquer que l’exposition au TFA pouvait être toxique pour le foie ou augmenter le risque d’infertilité. Rien n’a cependant encore été prouvé et des analyses sont encore en cours à l’agence européenne des produits chimiques. Tout dépend donc où l’on souhaite placer le curseur du fameux principe de précaution.

Le 4 avril dernier, l’Assemblée Nationale a voté à l’unanimité une proposition de loi visant à interdire progressivement la fabrication et la vente de produits contenant des PFAS (à l’heure actuelle, 37 molécules classées comme PFAS sont encore autorisées en France). Les parlementaires ont cependant exclu du champ de la loi les ustensiles de cuisine, afin d’éviter des fermetures d’usine et des suppressions d’emploi. La loi doit de nouveau être examinée dans l’hémicycle le 20 février prochain et prévoit notamment de renforcer les contrôles sur la présence de PFAS dans l’eau du robinet.

Publié par jscheffer81

Cardiologue ancien chef de service au CH d'Albi et ancien administrateur Ancien membre de Conseil de Faculté Toulouse-Purpan et du bureau de la fédération des internes de région sanitaire Cofondateur de syndicats de praticiens hospitaliers et d'associations sur l'hôpital public et l'accès au soins - Comité de Défense de l'Hopital et de la Santé d'Albi Auteur du pacte écologique pour l'Albigeois en 2007 Candidat aux municipales sur les listes des verts et d'EELV avant 2020 Membre du Collectif Citoyen Albi

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