Nouvelles sur la santé loco-régionales

Saverdun. La Maison de santé pluri professionnelle en pleine forme

Neïla Trotabas, directrice de la CPAM et Philippe Calléja, premier magistrat de la commune, paraphant l’accord conventionnel interprofessionnel.

Santé,  Politique,  Saverdun

Publié le 24/04/2023 à 05:09 https://www.ladepeche.fr/2023/04/24/la-maison-de-sante-pluri-professionnelle-en-pleine-forme-11154513.php

Correspondant

Philippe Calléja, maire de Saverdun, vient de valider l’accord conventionnel interprofessionnel (ACI), institué entre la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) de l’Ariège, l’Agence régionale de santé (ARS) et la Maison de santé pluri professionnelles locale (MSP). La signature a eu lieu en présence de Neïla Trotabas, directrice de la CPAM et de plusieurs professionnels locaux de la santé.

« L’objectif de cet accord est que le grand public connaisse mieux ce qu’est une Maison de santé pluri professionnelle, et plus particulièrement celle des Portes d’Ariège », a souligné en préambule, Neïla Trotabas. Elle a ensuite rappelé que les « MSP sont des structures de soins de proximité regroupant des professionnels de santé libéraux ayant fait le choix de travailler ensemble pour améliorer la prise en charge de leurs patients ».

Une diététicienne, cinq médecins, une pharmacienne, six kinésithérapeutes, seize infirmières, une sage-femme et une pédicure-podologue exercent au sein de celle de Saverdun.

Philippe Calléja a ensuite retracé l’historique de la MSP et s’est réjoui, à la fois comme maire et comme médecin, de l’importante mission de santé publique offerte par cette structure.

Il en a profité pour présenter également les futurs projets d’extension, avec notamment la création de quatre bâtiments supplémentaires, dont un qui sera dédié à l’installation d’un centre d’ophtalmologie, au début de l’année 2025. « Il est essentiel que le politique et le libéral travaillent ensemble ».

En Ariège, le centre de santé de Lavelanet a déménagé à l’impasse Marchand

ABONNÉS

Le ruban a été coupé par le Dr Séverine Arson.Le ruban a été coupé par le Dr Séverine Arson. DDM

Santé,  Ariège,  Lavelanet

Publié le 24/04/2023 à 19:01 https://www.ladepeche.fr/2023/04/24/en-ariege-le-centre-de-sante-de-lavelanet-a-demenage-a-limpasse-marchand-11155623.php

Correspondant de l’Ariège

l’essentiel

Le centre de santé de Lavelanet (Ariège), ouvert en 2020 mais devenu trop exiguë, a déménagé dans les locaux de l’ancienne perception.

« Aujourd’hui, c’est un beau jour pour la santé sur le territoire. » Ces mots de Jean-Jacques Michau, le sénateur de l’Ariège, pourraient résumer le plaisir affiché lors de l’inauguration, samedi, du centre de santé Ambroise-Croizat, situé et opérationnel à l’impasse Marchand (ancienne perception).

Mais au-delà de ces mots, bien appropriés, se cache une situation maîtrisée de plus en plus dans la présence de nouveaux médecins, mais qui demeure fragilisée avec les urgences du centre hospitalier du pays d’Olmes, qui restent désespérément fermées. Entouré de Jean-Baptiste Morinaud, sous-préfet, Jean-Jacques Michau, sénateur de l’Ariège, Martine Froger, députée, Marie-Odile Audric-Gayol, directrice départementale de l’ARS, Kamel Chibli, vice-président régional, d’élus du territoire et devant une assistance intéressée, Marc Sanchez, le maire de Lavelanet, n’a pas caché sa satisfaction, ni ses inquiétudes.

Le projet du centre de santé, démarré en 2019, s’est concrétisé dans un laps de temps particulièrement court. En quelques mois seulement, les élus du Sautel, de Laroque-d’Olmes, l’Aiguillon, Fougax-et-Barrineuf, et Lavelanet, ainsi que les techniciens, ont réussi à passer de l’idée à la concrétisation, rejoints très rapidement par les communes de Bélesta, de Saint-Jean d’Aigues-Vives et de Dreuilhe.

« Cette initiative est une action qui aurait dû être communautaire »

Le centre de santé Ambroise-Croizat était inauguré, avenue du Dr Bernadac, en janvier 2020. « Cette initiative est, pour moi, une action qui aurait dû être communautaire. J’y associe tout de même ceux qui pensent que nous avons eu raison de réaliser ce projet, bien qu’il ne soit pas de notre compétence », a précisé Marc Sanchez.

Pour le maire et président de la CCPO, « ce déménagement à un double sens, celui de l’évolution qui voit de nouveaux médecins se joindre à notre équipe pour répondre à la demande et celui qui permet d’améliorer l’accueil des patients et de nos personnels dans un bâtiment entièrement rénové de 230 m2 pour 9 cabinets ».

Aujourd’hui, le centre de santé « Ambroise Croizat » emploie sept médecins, deux secrétaires, ainsi que deux infirmières AZALE. « La santé, c’est aussi la réouverture des urgences de notre hôpital local sans attendre la fin de la construction du futur hôpital comme je l’entends trop souvent, a martelé le maire. Cela doit rester une priorité pour le Chiva, à qui il faut donner plus de moyens ».

Pour Kamel Chibli, « on prend peu à peu les compétences de l’Etat, l’offre de soins est vitale, cette initiative à Lavelanet est exceptionnelle sur la Région. On a besoin aussi d’un CHIVA fort, l’urgence n’est pas négociable ». Martine Froger, elle, voit « la dynamique du territoire », alors que pour le sénateur Michau, « c’est une question de vie, il en va de l’égalité républicaine ». Enfin, Jean-Baptiste Morinaud a assuré : « Ce centre de santé est un marqueur de la vie du territoire. »

Les urgences d’Albi vont-elles fermer le soir pendant les ponts du mois de mai ?

Inquiétude sur les urgences d’Albi.

Santé,  Société,  Tarn

Publié le 24/04/2023 à 14:16 https://www.ladepeche.fr/2023/04/24/les-urgences-dalbi-vont-elles-fermer-le-soir-pendant-les-ponts-du-mois-de-mai-11154980.php

Alexandre Maniez

l’essentiel

L’information a circulé sur les réseaux sociaux une bonne partie du week-end : le service des urgences du centre hospitalier d’Albi fermerait plusieurs soirs en mai. En pratique, si la direction reconnaît un risque, la réalité est un peu plus complexe. 

En décembre dernier, les urgences de la clinique Claude Bernard avaient fermé plusieurs nuits, faute de trouver du personnel. À l’approche du mois de mai, la situation est légèrement différente au centre hospitalier d’Albi où c’est surtout l’évolution du cadre légal entourant le tarif des remplacements qui pose problème.

A lire aussi : Albi : faute de médecins, les urgences de la clinique Claude Bernard ferment pendant plusieurs jours

Depuis tout début avril, la loi Rist prévoit un plafonnement de la rémunération des médecins intérimaires. Un nouveau cadre légal qui a bouleversé l’organisation du service à l’approche des ponts du mois de mai . « Ce nouveau cadre nous a mis en difficulté, comme d’autres hôpitaux, pour réussir à trouver des remplaçants, confirme le directeur du centre hospitalier d’Albi, Alexandre Fritsch. C’est un bras de fer avec certains médecins qui interviennent de manière contractuelle. »

Le tarif des remplaçants est aujourd’hui plafonné à 1 390€ bruts pour 24h de travail. « Jusque-là, certains professionnels étaient payés plus que de raison, confesse Alexandre Fritsch. Nous étions raisonnables, mais au-delà de l’obligation légale actuelle. La loi est entrée en vigueur le 3 avril. Et avec les ponts de mai qui arrivent très vite, c’est la période la plus difficile du bras de fer. Et on ne calera pas. Nous avons bon espoir que les médecins remplaçants acceptent les nouvelles conditions. C’est assurément une période de tension et de réflexion intense sur notre organisation interne. » Le directeur confirme que ses services planchent sur la question depuis de nombreuses semaines. 

Concrètement, des fermetures sont-elles prévues ? 

L’information a beaucoup inquiété dans le nord du Tarn. Plusieurs messages ont ainsi circulé sur les réseaux sociaux, évoquant une fermeture des urgences de 18h30 à 8h30, les 5, 6 et 7 mai et les 27 et 28 mai. Une situation démentie par la direction. « Oui, il y a eu des difficultés sur certains soirs, mais nous n’en sommes pas encore là, notamment grâce à l’appui du CHU de Toulouse et de l’agence régionale de santé. Certaines nuits sont d’ores et déjà couvertes, balaye le directeur du CH. Mais, en effet c’était très tendu. » 

A lire aussi : Transfert de patients, manque de moyens, surcroît de travail… Le casse-tête des urgences psychiatriques à Albi

Au cours du mois de mai, les urgences seront bien ouvertes, mais risquent d’être dégradées. Le centre hospitalier invite donc les Tarnais à ne solliciter les urgences qu’en cas de réelle nécessité et de privilégier au maximum la médecine de ville.

Si les fermetures du mois de mai semblent donc écartées, un risque existe-t-il sur les nuits des 2,3 et 4 juin ? Si la direction confirme que ce sont des soirées à risque, mais pour le moment il faut rester prudent. « Les plannings médicaux se font d’un mois, deux mois, sur l’autre. Ce n’est pas parce que l’on identifie des difficultés que l’on ne les résorbera pas », conclut Alexandre Fritsch.

Albi. Le CAMSPS inaugure ses nouveaux locaux

l'équipe du CAMSPS et quelques enfants dans leur nouvelle salle d'activités.l’équipe du CAMSPS et quelques enfants dans leur nouvelle salle d’activités. photo DDM, MPV

Vie locale,  Albi

Publié le 25/12/2012 à 03:47

https://www.ladepeche.fr/article/2012/12/25/1522366-albi-le-camsps-inaugure-ses-nouveaux-locaux.html

MPV

Le Centre d’action médico-sociale précoce spécialisé ( CAMSPS ) de la Fondation du Bon-Sauveur diagnostique les déficiences auditives puis développe la communication chez les enfants de 0 à 6 ans, par voie orale ou langue des signes avec une prise en charge globale.

La création du CAMSPS a été progressive. En 1972, le docteur André Martin organise des dépistages à l’hôpital d’Albi. Une infrastructure de diagnostic et un centre de consultation externe en ont découlé. Mais la détection de la surdité n’est pas une fin en soi et c’est tout un système d’accompagnement qu’il faut mettre en place. «Nous étions pionniers dans le domaine, se souvient Anne-Marie Fages, cadre du service. Nous visitions les structures existantes afin de dégager un type d’action novateur et de qualité». Au début, tous les nouveaux-nés passaient par le centre de dépistage, un premier examen est maintenant effectué par les maternités.

Le CAMSPS est composé d’une équipe pluridisciplinaire : médecin ORL, professeur pour déficient auditifs et éducatrice, orthoptiste, éducatrice LSF, psychologue, assistante sociale, pédiatre et psychomotricienne. Porteurs de surdité moyenne, sévère ou profonde, les enfants sont accueillis à l’heure ou à la demi-journée, avec une intégration systématique en maternelle dès que possible.

Installé provisoirement pendant 5 ans, le CAMSPS pose ses valises dans de nouveaux locaux, adaptés aux besoins. Une page se tourne aussi pour le personnel et le départ en retraite d’Anne-Marie Fages et c’est une équipe renouvelée qui prend maintenant en charge les enfants ; ils sont cette année 25.

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Faute de médecins, les urgences de la clinique d’Occitanie de Muret vont fermer toutes les nuits

La clinique d'Occitanie, à Muret, a enregistré 34 490 passages dans ses urgences en 2022.La clinique d’Occitanie, à Muret, a enregistré 34 490 passages dans ses urgences en 2022. DDM archives 2018 – NATHALIE SAINT-AFFRE

Santé,  Haute-Garonne,  Muret

Publié le 24/04/2023 à 14:20 , mis à jour à 18:52 https://www.ladepeche.fr/2023/04/24/faute-de-medecins-les-urgences-de-la-clinique-doccitanie-de-muret-vont-fermer-toutes-les-nuits-11155167.php

Emmanuelle Rey

l’essentiel

À partir de ce lundi 24 avril, les urgences de la clinique d’Occitanie de Muret ne fonctionneront plus 24h/24. En raison de l’absence de plusieurs médecins, la direction de l’établissement a décidé de fermer ses urgences tous les soirs à 23 heures. 

Pour la deuxième fois dans le mois, les urgences de la clinique d’Occitanie, à Muret, vont devoir fermer par manque de personnel médical. À partir de ce lundi 24 avril, et pour une durée indéterminée, le service n’accueillera plus de patients tous les soirs après 23 heures, y compris les week-ends. Les urgences fonctionnent désormais de 9 heures à 23 heures. En dehors de ces horaires, les patients devront composer le 15 qui conseillera et orientera. 

« Trois des huit médecins urgentistes du service sont actuellement en arrêt de travail. Nous avons pris le parti de concentrer nos ressources sur la période de 9 heures à 23 heures plutôt que de faire des plannings avec des jours d’ouverture et de fermeture. C’est un choix difficile car il n’est pas simple de fermer un service à 23 heures mais cette solution nous permet de tenir pour le moment en recentrant les équipes sur le travail en journée », explique Bruno Jeanjean, directeur de la clinique Occitanie (groupe Elsan). 

Activité en augmentation de 7% en un an

Selon les chiffres de l’Observatoire régional des urgences (ORU Occitanie), la clinique de Muret a enregistré 34 490 passages en 2022 (+6,9% d’augmentation par rapport à 2021) avec une moyenne de 93 passages par jour. Cette activité est essentiellement le fait de l’accueil de patients se présentant directement, le SAMU lui adressant 5 % des patients qu’il oriente vers un service d’urgences, ce qui représente entre 315 et 440 patients par mois. 

Pour le directeur de l’établissement, les difficultés de recrutement que rencontrent hôpitaux et cliniques depuis maintenant deux ans tendent rapidement toutes les situations. « Nous sommes sans arrêt sur le fil du rasoir dans nos organisations. La moindre absence peut nous conduire à fermer les urgences, c’est au-delà du mode dégradé », déclare Bruno Jeanjean. 

Les urgentistes interpellent leur directeur

Une tension que les huit médecins urgentistes de la clinique d’Occitanie ont retranscrite dans une lettre adressée par leur conseil (l’avocat de la société SELARL Urgences Occitanie) à leur directeur le 31 mars dernier. Il est demandé à Bruno Jeanjean de réaménager le service des urgences, au motif que « les équipes sont à bout de souffle, la qualité de travail des médecins est impactée et la sécurité des patients mise à mal ». Le courrier évoque une rencontre au cours de laquelle le directeur de la clinique d’Occitanie aurait imposé, « sous menaces de poursuites judiciaires, le maintien d’une ouverture du service des urgences 24h/24, 7j/7, quelles que soient les ressources médicales ». Les praticiens proposent alors de nouvelles modalités pour les mois à venir dont un recrutement actif, l’arrêt de l’accueil de patients n’ayant pas au préalable appelé et une régulation pour les jours où l’effectif médical est insuffisant. 

Bruno Jeanjean, de son côté, assure qu’il n’existe pas de tension particulière entre lui et l’équipe des urgentistes et déclare « les aider à étoffer leur équipe ». « J’ai effectivement rappelé qu’un service d’urgences doit, au niveau réglementaire, fonctionner 24h/24 sinon on s’expose à une remise en question de notre autorisation d’ouverture. Depuis cet échange, j’ai dû faire face à un arrêt de travail supplémentaire qui a conduit à cette nouvelle organisation avec fermeture de 23 heures à 9 heures tous les soirs, ce qui nous permet d’accueillir 90 % de notre activité. La situation est complexe et bancale, nous sommes solidaires et soudés », conclut le directeur de la clinique. 

À Figeac, un nouveau centre de consultations s’ouvre pour les patients sans médecin traitant

ABONNÉS

Les patients sans médecin peuvent dès maintenant réserver un rendez-vous.Les patients sans médecin peuvent dès maintenant réserver un rendez-vous. DDM – Illustration SEBASTIEN LAPEYRERE

Santé,  Hôpital,  Lot

Publié le 21/04/2023 à 10:57 https://www.ladepeche.fr/2023/04/21/a-figeac-un-nouveau-centre-de-consultations-souvre-pour-les-patients-sans-medecin-traitant-11149368.php

Audrey Lecomte

l’essentiel

Plus tôt que prévu, le Grand Figeac ouvre un nouveau service de consultations de médecine générale destiné aux patients sans médecin traitant du territoire. Des créneaux sont d’ores et déjà disponibles via la plateforme Doctolib à partir de lundi 24 avril.

En marge de son Centre de santé multisites qui emploie des généralistes salariés, le Grand Figeac innove encore en matière de santé et lance un service totalement inédit de consultations dédiées aux patients – de plus en plus nombreux – en déshérence, qui n’ont pas ou plus de médecin traitant. « Ce service est, je crois, une première en France. C’est pour nous une solution complémentaire qui répond à une problématique importante sur le territoire » se réjouit le président de la communauté de communes Vincent Labarthe, satisfait de voir les premières consultations ouvertes un peu plus tôt que prévu. « On a pu accélérer les choses et commencer avant ce que nous avions imaginé. Les solutions ont pu être trouvées plus rapidement que prévu notamment avec l’hôpital de Figeac qui va accueillir ce centre de consultations ». Situé 27 rue des Maquisards à Figeac, le service démarre dès lundi 24 avril.

Huit médecins généralistes du Figeacois volontaires

Huit médecins généralistes installés en libéral sur la communauté de communes se sont portés volontaires pour lancer cette expérimentation. Pour démarrer, le centre de consultations sera ouvert plusieurs demi-journées par semaine. Dès à présent, des créneaux sont disponibles et réservables en ligne via la plateforme Doctolib (1). Pour la première semaine de fonctionnement, des rendez-vous sont proposés lundi, mercredi et vendredi.

« On espère que d’autres médecins généralistes pourront rejoindre ce service. On sent une certaine curiosité de voir comment va fonctionner le dispositif. En tout cas, on a suffisamment de médecins volontaires qui viendront assurer des consultations pour démarrer. Ces huit généralistes ont souhaité s’engager pour apporter un service qui n’est pas présent sur le territoire et montrer aussi qu’il y a de la solidarité » salue Vincent Labathe qui sera très attentif à l’évolution du service dans les prochaines semaines. Une évaluation sera rapidement réalisée pour adapter au mieux l’offre de soins aux attentes des habitants. Ce nouveau centre de consultations s’adresse en effet aux habitants du territoire du Grand Figeac n’ayant pas ou plus de médecin traitant actif sur le territoire et qui ont besoin d’une consultation médicale. Les médecins généralistes ne pouvant plus accueillir de patients pourront également orienter les demandes de consultation vers ce service.(1) Réservations des créneaux sur Doctolib du centre hospitalier de Figeac https://www.doctolib.fr/hopital-public/figeac/ch-figeac/booking/specialities
à la rubrique spécialité choisir « médecin généraliste ».

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Il n’y aura plus d’accouchements durant 11 jours à l’hôpital de St-Affrique

La mesure concerne également le bloc opératoire, qui fermera du 1er au 8 mai.La mesure concerne également le bloc opératoire, qui fermera du 1er au 8 mai.

Santé

Publié le 23/04/2023 à 05:12

https://www.ladepeche.fr/2023/04/23/il-ny-aura-plus-daccouchements-durant-11-jours-a-lhopital-de-st-affrique-11153110.php

La Dépêche du midi

À partir du jeudi 27 avril à 20 heures, plus aucun accouchement ne pourra avoir lieu à la maternité de Saint-Affrique, et ce jusqu’au 8 mai inclus. La directrice des hôpitaux de Saint-Affrique et Millau Sylvie Marty a confirmé cette mesure, et précise qu’elle ne concerne pas « les consultations gynéco-obstétricales, la pédiatrie, les échographies et les suivis de grossesses », selon Le Progrès Saint-Affricain. Cette « suspension temporaire d’activité »concerne également le bloc opératoire de l’hôpital saint-affricain, qui fermera lui du 1er au 8 mai. Cette mesure a été prise à cause d’un « manque de collaboration entre les personnels des deux hôpitaux » de Saint-Affrique et de Millau, avait dénoncé l’intersyndicale qui avait tenu une réunion publique vendredi 14 avril. « La direction met en avant un problème de recrutement, qui est national, sur des postes paramédicaux et médicaux pour justifier le délitement de l’offre de soins et la fermeture de services », a dénoncé Christine Mercier, secrétaire de la section CFDT, pour qui ce manque de personnel entraînant ces fermetures de services est « organisé ».

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Publié par jscheffer81

Cardiologue ancien chef de service au CH d'Albi et ancien administrateur Ancien membre de Conseil de Faculté Toulouse-Purpan et du bureau de la fédération des internes de région sanitaire Cofondateur de syndicats de praticiens hospitaliers et d'associations sur l'hôpital public et l'accès au soins - Comité de Défense de l'Hopital et de la Santé d'Albi Auteur du pacte écologique pour l'Albigeois en 2007 Candidat aux municipales sur les listes des verts et d'EELV avant 2020 Membre du Collectif Citoyen Albi

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